Je
conte ici l'histoire d'après pétrole
D'une
tête de turc dans un très mauvais
rôle.
-
De rustres soucis ne se prenant la tête,
de
ça les images de Dieu rien ne surent,
car
chacun sait qu'elles ne sont pas des bêtes. -
Cela
se passe un temps où la vie sur terre
À
tout animal devint un jour si dure 
qu'entre
les espèces fut déclaré la
guerre.
Un
pauvre phoque ayant tors d'être vivant
dut
rendre compte en Cours martiale devant
la
très noble présidence d'une orque,
d'avoir
tous jours que Dieu fait, Noël comme Pâques,
en
une vie, de la mer mangé les poissons.
«D'un
avenir confisqué
nous nous angoissons.
la
marée des humains a prit un
goût de fuel 
parce
qu'un minable caché dans
la houle
se
permet de troubler la complexe
gestion
de
ressources dont pour lui il n'est
pas question »
«
- Madame la
Présidente, j'ai bien honte.
Mon
odieuse vie qu'il faut que je
vous conte
commençait
à maman dont
je pris les deux seins
au
dépend d'une sœur, par
un fâcheux dessein
emportée
saignante par un
méchant chasseur
bien
caché que j'étais
à cause de ma peur.
Déjà
gras petit et vite
peu maladroit
le
restait ensuite en me donnant les
droits
d'une
chasse sous-marine sans mesure,
et
par cet effet salir les plages
pures.
Puis
devenu grand
m'était rendu capable,
sans
nulle gène des mœurs les
plus coupables.
Vraiment
pour les phoques la vie
n'est pas un droit !
Présidente,
je vous en
supplie, mangez-moi ! »
Ainsi
va le monde fait d'arrogantes dictatures
mais
aussi et surtout de surprenantes servitudes
Croa